Le livre

suprématie féminineLorsque Sandrine découvre que son fils de 15 ans, Alex, utilise sa précieuse lingerie à des fins inavouables, elle décide de lui imposer le port d’une cage de chasteté afin de l’aider à se débarrasser de ses « mauvaises pulsions » et de faire de lui un homme respectueux des femmes. Pour ce faire, Sandrine suit les conseils de sa soeur Anita, lesbienne et médecin, elle-même adepte de la Suprématie féminine. Dès lors, Alex va se trouver confronté à une foule de femmes dominantes, sévères et inflexibles, qui vont lui faire vivre une succession d’épreuves et d’aventures humiliantes où il devra beaucoup prendre sur lui et mettre sa fierté de mâle de côté pour parvenir à donner satisfaction à ses éducatrices. Débutant à Paris, où résident Alex et sa mère Sandrine, l’histoire emporte le lecteur à Marseille dans la deuxième partie, où Anita et sa fille Anne-Sophie occupent une confortable villa du quartier Pointe-Rouge, laquelle semble servir de lieu de rendez-vous privilégié d’une ribambelles de femmes à la sévérité impitoyable…

La Solution Amazone est la première oeuvre de fiction consacrée à la cage de chasteté et à la chasteté masculine en général. Rédigé dans un style très actuel, mariant le journal intime et les échanges d’emails, il n’hésite pas à repousser toutes les limites du bon goût et de la bienséance pour offrir au lecteur une longue et progressive plongée en apnée dans l’univers impitoyable de la féminité. Mariant le réalisme le plus noir et l’humour le plus prosaïque, ce roman hautement transgressif ne vous laissera pas sortir indemne et hantera vos fantasmes longtemps après que vous l’aurez terminé.

Le style et le ton

C’est l’avantage de la littérature que de pouvoir raconter une histoire en toute liberté, sans avoir à tenir compte des codes du politiquement correct. Seul devant sa page blanche ou son écran, l’auteur peut se laisser aller à toutes les fantaisies permises par son imagination, tous les fantasmes, toutes les audaces, tous les excès. Ce qui ne serait pas possible au cinéma, à la télé, au théâtre – parce que les images proposées par l’auteur sont trop choquantes, trop transgressives au regard de la morale comme de la loi – le devient dans la littérature parce que les scènes décrites n’existent que dans l’imagination de l’auteur… et du lecteur. Les scènes décrites peuvent donc être particulièrement crues, explicites, obscènes, immorales, scandaleuses même au regard des “bonnes moeurs”, l’auteur comme le lecteur partageant la même liberté absolue: celle de se plonger dans une histoire sur laquelle les censeurs n’ont aucune prise.

L’auteur de la Solution Amazone a choisi la liberté la plus absolue dans son expression: il ne s’est fixé aucune limite dans son récit, aucun carcan moral, repoussant très loin les limites de la décence et de l’obscénité, n’hésitant pas à piétiner joyeusement certains des tabous les plus farouchement ancrés dans la société des hommes. Ici, c’est d’une éducation sentimentale très particulière dont il va s’agir, avec pour axes centraux les thèmes de la suprématie féminine et de l’inceste.

L’histoire est racontée de façon originale sous deux principaux angles:

– Le journal d’Alex: le jeune homme tient un journal intime dans lequel il confie aussi bien les épreuves qui lui sont imposées que ses états d’âme. La majeure partie du récit est issue de ce journal, ce qui permet au lecteur une grande proximité avec le personnage.

– Les emails entre Sandrine et Anita: Sandrine réside à Paris, sa soeur Anita est à Marseille, aussi communiquent-elles souvent par email au sujet de l’évolution de l’éducation d’Alex.

A ces deux points de vue s’ajoute également dans la deuxième partie du récit un singulier “Programme de gouvernement des Amazones”, rédigé par la redoutable déesse Marie-Pierre, une femme dominante particulièrement exigeante avec Alex, dont l’ambition affichée est de devenir un jour Impératrice des Amazones.

Que ce soit à travers le journal d’Alex ou via les échanges de mails entre Sandrine et Anita, le style adopté par l’auteur est plus proche du langage parlé que de la littérature académique. C’est un choix délibéré, dans un souci de réalisme: l’auteur ne se regarde pas écrire, il décrit les situations et les sentiments des protagonistes, sans effets de style inutiles. Le procédé du journal intime permet au lecteur de se glisser facilement dans la peau du personnage principal et de connaître et éprouver ses sentiments plus facilement, et avec une plus grande sincérité, que lors d’un récit à la troisième personne.

Par ailleurs, même si les situations sont souvent extrêmes, elles sont toujours emballées dans un humour permanent, qui contribue à désamorcer leur côté excessif. Alex n’est jamais le dernier à se moquer avec ses mots d’ado de ce qui lui arrive, de même que les réflexions des différentes femmes de son entourage, aussi cuisantes et humiliantes soient-elles, prêtent souvent à sourire. D’un bout à l’autre, le récit baigne donc dans un climat de joyeuse immoralité – amoralité serait un mot plus juste – assumée et décomplexée, qui n’est pas le moindre charme de ce roman singulier et atypique, évidemment réservé aux personnes majeures et averties !

Dans l’impitoyable univers des Amazones, tous les hommes sont encagés !

32 réponses à “Le livre

  1. bruno

    sa a lair interessant . on le trouve en librairie aussi??

  2. la cage devrait être obligatoire pour tous les hommes

    • George

      Oui mais a des fins de contrôle lorsque l’homme est hors de vue de sa femme pas à la maison où il doit la servir

      • Rudy

        Aujourd’hui nous en sommes à 241 jours de cage non stop.
        Et nous en sommes tous les deux très heureux. Les érections me manquent, les éjaculations me manquent, mais quel beau cadeau je fais ainsi à ma femme …

    • geraldine

      il faudrai l’imposer le jour du mariage pour reduire l’infidelité

      • solange.piggy

        La cage oui bien sûr, dès lors que les éjaculations se font rares (tous les mois sinon quelques mois), de fait la production de fait diminue… je suggère la castration même si c’est encore trop tabou.

  3. Api

    Api : Quel est le nom de l’éditeur ? !
    Thank you !

  4. Jean-Claude

    j’ai eu l’éditeur au téléphone (un homme sympathique et courtois) car j’ai eu un bug pour télécharger le livre et il m’a donné une info intéressante: l’auteur serait une amie de Sylvia Labiche (du blog chasteté masculine), ce qui explique pourquoi on trouve une pub du livre sur son site. désolé d’éventer le mystère, et si l’éditeur ou l’auteur trouve que ce com est déplacé ou trop « spoiler » qu’il n’hésite pas à le supprimer mais je trouve que cette info est encore plus excitante si c’est une femme qui a écrit ça alors pourquoi ne pas jouer dessus?? en tout cas moi aussi je dis bravo pour ce bouquin unique et tres original!

  5. Ben guilbert

    J’ai beaucoup apprécier ce livre, je m’y reconnais, puisque je vie un peut ce que vie Alex, d’une façon toutefois moins stricte mais malgré tout avec pas mal de similitudes.
    Je pense que l’auteur connait bien la cage de chasteté pour être aussi précis dans les détails, pourtant j’émettrais une petite critique sur certaines choses qui me paraisse importantes et qui n’ont pas été évoquer dans ce livre, en effet quand ont est contraint à la cage aux débuts, deux points importants modifie la vie au quotidien, c’est la difficulté d’uriner puisqu’il devient impossible de le faire debout, mais aussi les difficultés pour la toilette intime, cela parait ridicule, j’en convient, mais quand ont est devant le fait accompli, avec le sexe en cage de manière permanente, ces petites choses quotidiennes modifie considérablement la perception que l’on à de sa masculinité et pour un livre aussi précis sur le sujet, je trouve dommage que Alex n’en parle jamais dans son journal intime, je pense que cela aurait encore rajouter de la crédibilité à cet ouvrage .

  6. Anthony

    Pour ma part, j’ai détesté ce livre.

    Même en tant que science fiction, je ne peux pas trouver un tel scénario intéressant.

    Une mère qui fait porter une cage de chasteté à son fils, à la limite, je peux comprendre. Au point de le rendre impuissant et éjaculateur précoce, je trouve ça lamentable.

  7. smsoft

    idem j’ ai trouvé ce livre dérangeant je ne suis pas pour ce genre de soumission extrémisme

  8. julien

    lol y a des petites natures quand même. si vous trouvez ce livre « dérangeant », qu’est-ce que vous dites de Sade ou même Histoire d’O, c’est dérangeant aussi ces histoires de pauvres femmes battues, torturées et humiliées ! la littérature permet l’excès et là on est dans la fantasme, l’auteur y va à fond c’est vrai, maintenant si ça vous gêne à ce point il vous reste la lecture de de Marc Lévy et Musso, c’est plus soft!! moi j’ai bien aimé, j’ai bien bandé et c’est tout ce que je demande à un bouquin érotique.

    • Jean

      Ben je suis d’accord avec toi. Encagé dans une lourde Revenge de 230 grammes depuis 2008 je suis libéré de temps en temps. Mais la relation avec mon épouse n’a rien à voir avec la folle facho qui veut castrer les mecs à la tenaille, telle que décrite dans le petit bouquin.
      Comme elle le dit: « c’est douloureux, mais ça cicatrise en deux jours ». Evidemment, elle castre dans un pays lointain, reculé, peuplé d’ignares incultes. Le Quatar ? Non, le Quatar finance le PSG avec le fric gagné grâce à nos pleins d’essence. Non, ce pays, c’est la Roumanie. Où, c’est bien connu, tout est permis. Même de castrer les mecs à la pince.
      Et plus, dans l’histoire qui ne tient pas debout en seconde partie, ces dames glandent (si je puis dire) sur la Côte d’Azur dans une maison qui ferait rêver les producteurs de films porno bien macho de Californie. Vous voyez: ces vidéo pleines de grosses queues qui baisent de pauvres filles obligées de pousser des cris de plaisirs après avoir pris 3-4 sniffs d’héroïne.
      Dans l’histoire, les « salopes » ont des gros seins. La seule qui est gentille avec le fiston encagé de la dame du début (pas la folle, l’autre) a des petits seins. Donc, la méchanceté dépend de la taille du sein.
      La folle qui veut créer un Etat exclusivement féminin et l’explique très longuement dans le bouquin, envisage de réintroduire la peine de mort – ben voyons – et de castrer les jeunes hommes qui refuseront de porter une cage de chasteté.
      Par contre, ceux qui ont des grosses queues seront mis en réserve pour donner du plaisir à ces dames et leur permettre de procréer. Ben oui, faut bien faire des gosses pour avoir des esclaves. Et tant qu’on y est, mieux vaut une grosse queue.
      Problème dans le récit: les mecs à grosses queue sont, en principe, les pires machos à combattre. Mais on les préserve.
      Manque juste une outrance de plus pour faire de cette seconde partie un brûlot facho de la pire espèce: tuer les bébés mâles à leur naissance.
      Et alors, le monde de ces folles serait parfait.
      Oh là !!
      L’encagement est une décision du couple. Pas une obligation. Et quand on envisage de sectionner l’appareil génital de l’homme avec une tenaille, sans son consentement, sans anesthésie, et sans problème urinaires par la suite (« ça cicatrise en 2 jours »), cela relève non seulement du pénal, mais aussi de la psychiatrie.
      C’est l’oeuvre de l’artiste écrivain me direz vous ?
      Navré: ça ne parle pas à l’intellect. Le début oui. La seconde partie non. Et la seconde partie a sans doute été écrite par un mec.
      J’ai donc effacé cette horreur de ma tablette Kindle.
      Mais il fort probable que j’achèterai le second tome s’il paraît un jour.
      Pour mesurer le délire que peut provoquer la mise en cage chez un homme écrivain.
      Et m’en préserver.
      Jean

      • solangepig

        Je veux bien me castrer et/ou subir une pénectomie par une Amazone, aussi je lance un appel à toutes les Amazones, les Femmes désireuses de faire celà selon la méthode qui leur plaîra….
        Mes profonds respects à toutes les Amazones,
        solangepig

      • Philippe42

        Lol encore un qui n’a rien compris et qui ferait mieux de lire Harlequin. L’auteur y va à fond dans le délire tout le long et c’est ce qui est fun. Perso, la scène ou la grosse rousse explique sa vision de la gynarchie et le processus de castration en Roumanie m’a franchement fait rigoler tellement c’est excessif et cliché. T’as juste aucun humour, mec 😂

  9. encagé

    Bonjour,
    Pour ma part, j’ai trouvé ce livre très bien écrit et proche de la réalité (enfin celle que je vis avec grand bonheur). Personne n’est obligé d’aimer ce type de pratique, personne n’est obligé de s’y soumettre !
    Pour ma part : encagé 24/24 (libéré pour des raisons d’hygiène et sous surveillance 15 mn / semaine) je vis un rêve. Contraint, contrôlé, soumis à toutes les volontés de ma femme d’amour (qui garde sous cachette bien gardée la clé du cadenas de ma cage de chasteté) je n’ai jamais été aussi heureux : je ne veux plus jamais redevenir le gros macho nul que j’étais auparavant.
    D

  10. Julien

    Bonjour, à quand la suite?

  11. S-F

    La place des hommes est naturellement aux pieds des femmes, la suprématie féminine du monde s’impose d’elle même. Continuer comme ça Mesdames vous êtes les plus belle.

  12. quentin

    c est quoi ce livre sur la surpremaci feminime c est vraiment de la scien fiçtion c est vraiment n importquoi je suis un garcon est je trouve ca ridicul

  13. J’ai trouvé ce livre magnifiquement écrit, un véritable mode d’emploi dans le monde de la suprématie féminine !

  14. Merci pour tous vos commentaires. L’aventure du livre continue de plus belle puisque, suite à son succès en version électronique (plus d’un millier d’exemplaires vendus à ce jour), il est désormais disponible en version papier sur Amazon: http://www.amazon.fr/gp/product/1503350428/sr=8-7/qid=1417101953/ref=olp_product_details?ie=UTF8&me=&qid=1417101953&sr=8-7

  15. Paul

    Lol moi aussi j’ai bcp aimé ce livre, pas de quoi être choqué pour moi c’est surtout une comédie, les personnages sont marrants et on rigole franchement pas mal tout le long. Ceux qui prennent ça au premier degré ont un pb car c’est clair que tout est excessif, c’est fait pour et pour moi ça fonctionne :)

  16. Pat

    Je l’ai lu et je le relis. J’aime surtout la première partie car je m’y reconnais. J’adore aussi la deuxième partie, même si la castration fait vraiment peur, je ne me voit pas subir ça!
    Vivement la suite de l’histoire, j’ai hâte de savoir ce qu’il va lui arriver ;-)

    • solange.piggy

      Ni la castration, ni la pénectomie ne me font peur, bien au contraire, si je rencontre une Maîtresse qui me le demande, j’accepte sans hésiter.

  17. ale

    il y aura quand la suite

  18. MA femme apres avoir en ma compagnie lu votre article sur la chastete masculine a desside de m equiper de cette facon cela fait 3ans que je n ai pas ete libere ma femme m a dit que je le serai ce soir le temps de me masturber et remis en cage pour le reste de mes jours car elle sera sertis ainsi je serai prive de sex a vie et par securite elle me posera une ceinture de chastete en cuir pour femme depuis je n ai pasete libere une seule minute la nuit elle me fait porter une camisole de force me couche au sol et me pousse sous sont lit une foie je suis reste 4 jours sans sortir du dessous de lit

    • Rudy

      @ queille :
      Vous êtes, ta femme et toi dans un situation très avancée.
      En ce qui me concerne, je suis sous cage depuis 191 jours non stop, et je ne sais pas quand ça se terminera …. si ça se termine un jour ? ! ! ! ?

    • Raymond

      Cet abruti de « Queille » est surtout un gros fantasmeur qui pollue tous les sites de Gynarchie avec ses commentaires débiles issus de son imagination obsessionnelle et monomaniaque tordue. Rien de ce qu’il raconte n’est crédible, ca releve juste de la pathologie. Qu’il se trouve une KH dans le monde réel au lieu faire chier avec ses coms stupides et pas crédibles une seconde.

      • Patachon

        En effet, ce Queille est un grand malade. Vu la qualité de son écriture, ça doit pas voler haut. Avant de polluer les forums,il ferait bien de se branler un bon coup. Ca soulage.

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